lundi, mai 15, 2006
illicite idylle
c'est beau, un peu lent, emprunt de mélancolie et de naïveté, et la fin m'a glacé le coeur. Tout au long du film, on pourrait croire que cette passion traverse des âges ancestraux, mais se passe bel et bien dans les années 80 !Comme quoi, on est vraiment des privilégié(e)s dans les pays dits développés... Et un privilège n'est jamais vraiment acquis.
Inscription à :
Articles (Atom)